Nom :Park.
Prénom :Min Ji.
Date de naissance :5 Juin 1992.
Âge : 18 ans.
Sexe : Féminin.
Orientation Sexuelle :Hétérosexuelle.
Pseudo sur Screen Chat :Miyaki
Nationalité :Coréenne.
Activités :Étudie la littérature anglaise.
Famille :Fille unique et vit avec sa mère.
Avatar :Park Ji Yeon [T-ARA]
Prédéfini :Oui.
Signe particulier :Elle est atteinte d'une maladie génétique.
Groupes :

Les bips à chacun de mes battements de cœurs, j‘ai longtemps habité cette chambre, bien plus longtemps que ma chambre en tous cas. Les orchidées aux pieds de mon lits étaient la touche de gaîté dans cette chambre si froide. La porte s’ouvrit, l’infirmière venait surveiller mes constances et me posait des tas de questions pour ce que je pouvais ressentir. Est-ce que je pouvais lui dire ? Que je souhaitait quitter cet endroit ? Que j’ai peur ? Et que je voulais revoir Miyaki ? Non, c’était une horrible relation patiente-infirmière. Toute mon enfance a été ainsi…
Je m’appelle MinJi Park, je suis issue d’une famille assez riche et je suis fille unique. Ca c’est s’en doute de ma faute. A ma naissance, le docteur a annoncé à mes parents que j’était atteinte d’une maladie génétique très rare. Ils ne voulaient surement pas avoir un autre problème. Oui, je me caractérise comme un problème, voir un poids pour eux. Tous les jours, je devais aller à l’hôpital pour surveiller la maladie. Les médecins ne me donnaient pas longtemps à vivre et pourtant, je suis encore là. Alors, de mes six ans à dix ans, j’étais resté dans l’enceinte de l’hôpital. Il y avait des jours, où je voyais mes parents et d’autre pas. Ce n’est qu’une fois, que les médecins ont trouvé le bon traitement pour moi, qu’ils m’ont laissé sortir. J’ai retrouvé mon foyer familial et surtout Miyaki. C’est mon chat, mon meilleur ami je dirai même. J’aurai bien voulu aussi un chien, mais j’en suis allergique. Alors, comme je n’avais pas beaucoup d’amis, n’était pas scolarisée normalement, mes parents m’ont offert un chat. Des cours particuliers, je n’avais pas le droit de sortir toute seule, même dans la rue juste devant chez moi. Il y avait toujours le majordome avec moi. Heureusement pour moi, il était fort sympathique. Le seul enfant que je côtoyais, était son fils. Il venait souvent le voir et il faisait découvrir les jeux de récréation totalement inconnus pour moi, ce qui le faisait beaucoup rire.
Puis, vint une dure période. Je m’étais habitué à être enfermée et j’étais impatiente de voir mon seul ami. Sauf qu’un jour, un jour d’été, mon père s’en alla. Les bras réconfortants qui me serrait lorsque je faisais mes crises, les doux battements de cœurs que j’entendais à chaque étreinte et ces mots réconfortant, je ne les verrai plus. Mon petit train-train quotidien fut bousculé et je fus ma première violente crise de ma vie. On m’amena à l’hôpital où je tombai dans le coma pendant une longue semaine. Interminable pour ma mère, ce n’est que lorsque j’ouvris les yeux, que son mal s’estompa. J’aurai tant voulu que ce soit un cauchemar et qu’il soit toujours là, mais non. Suite à mon coma et quand je retourna chez moi, j’étais devenue muette à fixer la porte d’entrée en espérant le voir revenir avec une orchidée à la main. Je n’ai jamais été proche de ma mère, mais depuis, ça a changé. On était plus que toute les deux et j’ai découvert une femme extraordinaire. C’est pitoyable de ne s’en être aperçue qu’après douze ans, que ma mère était la plus incroyable des mamans. On a pu vivre de la pension alimentaire, qu’il nous versait et ma mère a repris le travail. A mes treize ans, je n’ai plus cru en la paroles des adultes et surtout des hommes, ce n’est que du vent.

C’est à mes seize ans, qu’enfin ma mère me laissa suivre une scolarité normale. Je lui promis de faire attention. Alors, je rentrai en cours d’année au collège et j’ai eu du mal à m’intégrer. Tout le monde se connaissait. Tant bien que mal, je me faufilai dans la masse en m’extériorisant un peu plus, mais tout en me taisant sur ma maladie. Je voulais être une fille comme les autres, je voulais qu’on me regarde sans y que j'y vois de la pitié, je voulais être normale aux yeux de tous. Alors, au fil des jours, j’y trouvais mes marques et m’intégrais. De nouveaux amis, la permission de sortir dans les rues de Séoul, les seuls au courant de ma maladies étaient mon médecin, ma mère et l‘école. Parce que ma mère m’avait interdite de pratiquer un sport et je restai toujours sur le banc de touche. En plus, j’aurai bien aimé pratiquer un sport, comme la danse par exemple. Une activité que je fais en cachette… C’est comme la natation. Et, je sais que si ma mère venait à l’apprendre, elle me renfermerait chez moi… Alors motus et bouche cousue ! Même si, j’ai failli y retourner chez moi après une petite altercation avec un camarade… Il l’avait manqué de respect à une amie et moi alors, je lui ai fait montrer de quel bois je me chauffe ! Je l’ai frappé et sans faire attention à ma force, je lui ai cassé le nez. Une bagarre, qui m’a valu une visite dans le bureau du proviseur mais, le respect de mes autres camarades par la suite.
Vint les années lycéennes, où j’y ai remporté un prix en littérature grâce à mes écrits, en première année. J’ai toujours adoré la littérature, à l’hôpital j’avais toujours la tête dans un bouquin alors, pour une gamine de seize ans, j’en ai lu des livres. Puis, enfin j’avais mon petit cercle d’amis. Seulement, j’avais toujours peur d’avouer mon handicap. On me posait beaucoup de questions sur ma dispense de sport alors que, je semblais toujours en pleine forme; J’inventais une chose bénigne ou disait que ma mère était trop protectrice pour ceux, qui me surprenaient à nager ou danser en salle. Puis, dès ma première année, je découvris aussi Sreen Chat. Comme un nouveau monde, où j’ai commencé à avouer ma maladie. De fil en aiguille, je me suis attachée à ce site où je pouvais dire tous ce que je ressentais et parlais de ma maladie, sans être démasquée. Juste avant mon inscription, mon chat est mort alors, j’ai pris son nom comme pseudo. Beaucoup de messages d’encouragement de personnes inconnues, mais ça me donne tout de même la force de continuer à avancer. Quand le moral est au plus bas, dorénavant c’est par ce site que je passe. N’ayant pas le droit de fumer ou boire, je ne sors pas beaucoup en soirée et éviter les endroits trop fréquentés où la fumée de cigarette est au rendez vous. Seule ma mère est au courant de ma double vie sur Sreen Chat, mes amis ne s’en doutent pas une seconde que je sois Miyaki.
Pour finir, pendant mes heures libres, je passe beaucoup de temps à l’hôpital pour m’occuper des enfants malades. Leur faire ressentir un peu plus de joie et moins de solitude, je sais très bien que ce n’est pas bon pour la guérison, d’être seule.. En plus, je vais faire la lecture à la bibliothèque aux enfants. Après mes études, je souhaiterai devenir maîtresse des écoles car, j’adore m’occuper et faire apprendre aux enfant.. Cependant, seul l'avenir me dira, si je peux encore aller aussi loin.. Parce qu'à l'heure d'aujourd'hui, je vis encore avec une épée d'Héraclès au-dessus de ma tête..

Douce jeune fille, qui court dans les couloirs de cet hôpital. En poussant un fauteuil roulant, elle redonne le sourire à l’enfant, qui se trouve dessus. Un sourire vaut plus que l’or pour elle. C’est une habitude de côtoyer ces lieux, depuis toute petite, dès sa naissance même, elle a côtoyé cet hôpital. Elle fait passer ça pour du bénévolat à ses amis, mais en faite, notre Minnie nationale souffre d’une maladie génétique. Cette maladie la pousse à venir ici le plus souvent possible. Cependant, c’est avec le sourire qu’elle le fait. Qui pourrait croire, qu’elle peut mourir d’un moment à autre ? Toujours pétillante et débordant de vie, elle cache sa douleur derrière un sourire. Même si, au fond cette maladie lui fait très peur, elle n’en dira rien. Parce qu’elle souhaite profiter de la vie à cent pour cent et de ne plus s’apitoyer sur son sort. C’est en voyant les enfants dans le même états qu’elle ou pire, elle veut être présente pour eux et c’est avec une joie immense, qu’elle égaye les couloirs des hôpitaux. On la connait pour ça. Toujours prête à s’amuser et faire rire les autres, elle se plierait en quatre pour vous faire décrocher un sourire. D’un naturel très sociable, elle va vers les gens avec une aisance pas croyable. Cependant, elle vous parlera de la pluie et du beau temps, des cours de la veilles, des actualités, mais jamais de sa vie. Elle fuit ce sujet. Beaucoup, on voulut en savoir plus sur elle, mais ils se sont tous heurter à un mur. Depuis, le départ de son père, la joyeuse MinJi s’est renfermée. Avec son comportement de tous les jours, on peut la penser naïve, mais pas du tout. Elle ne fait pas aussi facilement confiance aux autres et surtout aux hommes. Elle a tendance à mal réagir à leur promesse. Parce que son père lui avait promis d’être toujours présent et il partit loin d’elle avec la première fille… Alors, tenez votre langue, surtout si cette promesse n’est pas tenue car, sinon, elle vous en fera voir de toute les couleurs. Et, oui, elle peut être aussi redoutable qu’adorable. Comme elle ne supporte pas être prise de haut, qu’on manque de respect et encore moins, qu’on se moque de quelqu’un. Une vraie petit justicière, elle est capable de se mêler des histoires qui ne la regardent pas pour aider quelqu’un. Elle n’a pas la langue dans sa poche et personne n’a encore réussi à la faire taire, quand elle vient à prendre la parole pour défendre ses idéaux. Pour la suite, notre petite rayon de soleil fait son maximum pour être comme les jeunes filles de son âge.. S’amuser, courir, danser, rire, elle veut profiter de la vie. Une détermination qu’on ne lui fera pas perdre. Elle est attentive à ce qu’il l’entoure autant aux petites choses de la vie de tous les jours, qu’aux gens. Une attention toute particulière pour ces derniers, elle est dès plus attentionnée et prévenante avec les autres, que ça peut amener à bons nombres d’interrogations à son sujet. Si elle est vraiment gentille ou si c’est de l’hypocrisie? Mais, quand son franc parler prend le dessus, on se pose plus de questions ! Puis, elle aime bien passer du temps avec les enfants, que ce soit à l’hôpital ou en dehors, elle adore s’occuper des enfants. Pour finir, il lui arrive aussi de rencontrer des baisses de régime. Oui, car on ne peut pas être joyeuse 24heures sur 24, 7jours sur 7. Il lui arrive de se sentir trop mal à cause du traitement, de sa maladie et à ce moment, même si elle se force… Son coté effondré et à bout de souffle reprend le dessus. Un comportement où elle préférait être enfermée chez elle où à l‘hôpital, au lieu qu’on la voit dans cet état. C’est pour ça que personne n’a jamais vu Minnie pleurer ou se plaindre… Elle préfère en magasiner tous à l’intérieur d’elle. Oui, très rares sont les gens, qui ont vu de fine larmes se tracer sur ses joues. Surement trop fière pour qu’elle apparaisse si faible aux yeux de tous.

Pseudo :Nyuu.
Nom :ERROR
Âge : 18 ans T^T
Comment as-tu connu le forum ? :Sur un Top-Site!
Qu'en penses-tu ? : J'aime, j'adore :3
Code règlement :Code Okay by Jin Hyun

Bon jeux ~